Peu de temps après avoir quitté la Terre, Tetsurô est toujours très marqué par la mort de sa mère, assassinée par un être mécanique.

Alors qu'il se trouve au wagon restaurant du Galaxy Express 999, il fait la rencontre de la toute nouvelle serveuse du train, Claire, dont le corps subjugue le garçon.
Est-ce en raison de sa nudité ou de son corps si étrange ? Sans doute un peu des deux !

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Claire n'est pas fière de son corps fait de verre, pourtant magnifique, car c'est sa mère qui l'a forcée à l'obtenir. La jeune femme n'espère quant à elle rien d'autre que retrouver un corps de chair et de sang. Car depuis qu'elle a cette apparence qui ne retient ni les ombres, ni la lumière, Claire se sent seule.

Serviable, tandis que le train est plongé dans le noir en passant dans un tunnel spatial et que Tetsurô ne parvient plus à manger, Claire utilise son énergie interne pour éclairer le wagon.
En s'illuminant de la sorte, son corps est encore plus resplendissant et devient légèrement chaud, ce qui met aux anges Tetsurô lorsqu'elle lui prend la main. Le garçon lui propose alors de devenir amis, mais Claire, troublée, ne répond pas et s'enfuit.

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Tetsurô s'en retourne alors dans son wagon et croise un être dissimulé sous un capuchon.

Lorsque le personnage relève la tête, Tetsurô découvre qu'il s'agit de sa mère... En dépit du bon sens, il fond en larmes et se jette dans ses bras.

Mais l'être se révèle rapidement être une illusion squelettique qui veut s'emparer de la vie du garçon et cherche à l'entraîner hors du train.

Claire récupère in extremis le garçon défenestré et se met à irradier en enserrant l'illusion de la mère de Tetsurô, faisant promettre au garçon de réaliser ses rêves. Le corps de Claire se met alors à se fendiller et à briller si intensément qu'elle explose, emportant l'illusion dans le néant.
Les éclats du corps de la serveuse, qui a finalement accepté l'amitié de Tetsurô, sont jetés hors du train comme une pluie de diamants. Seul un éclat ressemblant à une larme sera conservé par Tetsurô, comme si son âme se trouvait à l'intérieur.

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